La mort a encore frappé

 

 

 

 

La mort t’a emporté

Toi, ma belle dans ta quarante huitième année

 

 

 

 

oh, elle n’a pas frappé

C’est toi qui l’a appelé

 

 

 

 

Trois années se sont écoulées

Depuis le décès de ton mari adoré

 

 

 

 

Tu as essayé de lutter

Mais la souffrance t’a aspiré

 

 

 

 

Tu n’as pas réussi

A retrouver cette moitié de toi

Qui s’est envolée avec lui

 

 

 

Tu as laissé ta famille et tes amis

Pour etre à ses cotés pour l’éternité